Téhéran – Après les bombardements américains d’il y a près de deux mois, censés avoir détruit les installations nucléaires de Fordow, Natanz et Ispahan, l’Agence internationale de l’énergie atomique a enfin pu se rendre sur place pour constater les dégâts. Verdict : absolument rien n’a été détruit… mais le programme nucléaire iranien ne viserait pas à produire de l’uranium enrichi. Il servirait plutôt à développer une gamme de sèche-cheveux « à propulsion ionique » destinée au marché du luxe.
Les inspecteurs, accueillis avec thé et baklavas, affirment avoir pu « observer librement » plusieurs salles de centrifugation. « Nous avons vu des machines tourner à plein régime, mais elles étaient toutes reliées à des coques en plastique avec des boutons “Cool Shot” et des diffuseurs en céramique », explique un membre de la délégation, visiblement séduit par la finition.
Du côté iranien, le ministre de l’Industrie confirme : « Nous avons détourné la technologie nucléaire pour créer le brushing parfait. Notre objectif est d’exporter vers l’Europe avant l’hiver, afin de concurrencer Dyson et mettre fin à l’hégémonie occidentale sur les cheveux lisses. »
Les États-Unis, eux, se disent « préoccupés » par cette annonce. Un responsable du Pentagone, sous couvert d’anonymat, évoque la possibilité que ces sèche-cheveux soient modifiés pour « envoyer un missile tout en fixant votre frange ». Israël, de son côté, réclame l’inspection immédiate des usines de peignes.
L’AIEA conclut que « rien ne prouve un usage militaire » mais demande à rester en contact pour « tester les modèles haut de gamme ». Selon un communiqué interne, plusieurs inspecteurs auraient d’ores et déjà passé commande, avec livraison discrète via valise diplomatique.