Les géants chinois du e-commerce — Shein, Temu, et Alixexpress — continuent de noyer la planète sous des tonnes de vêtements synthétiques et gadgets inutiles. Une catastrophe écologique… que le gouvernement qualifie pourtant de “progrès démocratique”.
“Avant, seuls les riches pouvaient surconsommer. Aujourd’hui, même les précaires peuvent polluer à leur échelle. C’est une forme d’égalité”, a déclaré un conseiller du ministère de la Transition écologique, en recevant son 9e colis Temu de la journée.
Selon un rapport confidentiel, chaque minute, la France importe 3 800 débardeurs fluo, 1 200 grattoirs pour nombril et au moins un t-shirt « I Love Baguette » produit à Wuhan.
Pour tout de même canaliser l’impact, l’État envisage un système de “douane morale” : tout acheteur devra regarder une photo de dauphin mazouté avant de valider son panier.
“On ne peut pas interdire. Mais on peut culpabiliser fort”, précise un haut fonctionnaire. “Et si ça ne suffit pas, on envisage d’imprimer Greta Thunberg sur les factures.”