C’est une découverte que personne n’attendait, sauf peut-être les habitués du métro bondé : inhaler les flatulences d’autrui aurait des effets bénéfiques sur la santé mentale et cardiovasculaire, à condition qu’elles proviennent d’au moins trois individus différents dans la même journée.
L’étude, publiée dans The Journal of Advanced Gastropsychology, affirme que le “cocktail gazeux interpersonnel” stimule la sécrétion de sérotonine, renforce l’immunité et réduirait même le risque de burn-out.
“Ce n’est pas le pet qui soigne, c’est sa diversité.”
– Professeur Chloé Gourdine, spécialiste en aérothérapie collective
Le gouvernement envisage déjà une campagne de prévention baptisée “Souffle Partagé”, encourageant les citoyens à ne plus retenir leurs émissions digestives dans les lieux publics, “par civisme sanitaire”.
Des pistes de réflexion incluent :
- La création de zones de relâche thérapeutique dans les espaces de coworking ;
- Des cartes de fidélité “10 pets – 1 trajet” dans les transports en commun ;
- Et l’instauration d’un label “BioFlat” garantissant une digestion sans additif chez les émetteurs volontaires.
Interrogée sur la dimension potentiellement dégradante de la mesure, la ministre de la Santé a répondu calmement :
“Entre respirer un pet de quinoa ou mourir d’un AVC… y’a pas photo ».