Bonne nouvelle pour l’économie française : le Produit Intérieur Brut est officiellement en hausse de 0.2 % sur le deuxième trimestre 2025, malgré une activité réelle proche de l’encéphalogramme plat.
“Ce n’est pas une croissance classique, mais une croissance résiliente, populaire, et souvent en liquide”, a précisé un haut fonctionnaire de l’INSEE, en réglant un kebab par Paylib.
Dans les faits, le shit a représenté à lui seul près de 40 % de cette croissance souterraine, grâce à un réseau logistique de plus en plus organisé et une clientèle désormais « multi-générationnelle ».
La formation en ligne, quant à elle, a explosé avec des cours comme “Devenir millionnaire avec zéro effort” ou “L’immobilier sans argent ni talent”, qui ont généré des millions d’euros de chiffre d’affaires sans aucun contenu utile.
Pour soutenir cette dynamique, le gouvernement envisage désormais de stimuler les revenus issus d’OnlyFans, considérés comme “un levier d’expression économique et corporelle, en phase avec les aspirations contemporaines”.
Une prime de création de contenu pourrait même voir le jour pour les jeunes actifs sans diplôme, à condition de publier au moins trois vidéos par semaine avec interaction minimale.
Dans le même esprit, face au succès des VPN, conséquence directe de la loi sur l’accès aux sites pornographiques, le gouvernement a décidé d’en faire un indicateur officiel de performance numérique.
“Chaque interdiction crée une opportunité économique. C’est ça, le capitalisme circulaire”, se félicite Bercy dans une note interne confidentielle fuitée sur Reddit.
Face à l’engouement économique généré par le cannabis, l’État réfléchirait désormais à réquisitionner des terres agricoles pour y faire pousser du shit “de circuit court”, permettant “d’accentuer cet élan vertueux tout en garantissant la souveraineté narcotique de la nation”.
Aucun effet n’a encore été constaté sur le pouvoir d’achat, ni sur la productivité réelle, mais les courbes montent, et à six mois du prochain rapport de Standard & Poor’s, c’est tout ce qui compte.